17+18+19 12.2025 Les événements de clôture: Tête à queue de l’univers, le poème de l’envers du temps et du VIH-sida
Cette page est dédiée aux événements liés à l’Exposition Tête à queue de l’univers : voir la page dédiée ici
Vous pouvez télécharger le Programme en pdf
✻ événements (sans réservation ; inscription préférable pour l’atelier-visite au CCR-Mucem):
Addap 13, Al, Les ami..es du Patchwork des Noms, sacha bb, CCO-Velten Bernard du Bois, Collectif Oui à une HSA à Marseille, Collectif Radical Joy Commons (Julien Devemy, Régis Samba-Kounzi) & Fabienne Héjoaka, Centre LGBTIQ+ de Marseille, Théophylle Dcx, Paul Dinlaportas Escamez, Peter Friedman (†), Gaëlle Krikorian, Órion Lalli, Aymé Riandey, Othman Mellouk, Médecins du Monde, Mémoires des sexualités, Mucem, Paul-Emmanuel Odin, Marcelle Pignole, Réseau Santé Marseille Sud + Sarah Champion-Schreiber et Clothilde Grandguillot, Stéphane Gérard, Lionel Soukaz (†), Morgane Vanehuin, Juliana Veras, Vidéodrome2, Zoëme galerie-librairie
mercredi 17 décembre
✻ 14h-17h au CCR-Mucem (1 Rue Clovis Hugues, 13003 Marseille)
Atelier-visite autour des collections “mémoires de la lutte contre le VIH/sida” ouvert à toustes, inscription gratuite avant le 16 décembre 12h à info@la-compagnie.org
jeudi 18 décembre
✻ 19h à la compagnie lieu de création
Performance : Transe Reverse Express, Paul-Emmanuel Odin, François Rossi et Amelia Tabeï
✻ BAR et ASSIETTE à petit prix ✻
vendredi 19 décembre
✻ 19h à la compagnie lieu de création
– Lecture de Théophylle Dcx
– Juliana Veras (Médecins du monde) : Sur l’accès aux traitements
✻ BAR et ASSIETTE à petit prix ✻
– Performance de Paul-Emmanuel Odin et de Gaëlle Krikorian : BIG BAD PHARMA
L’inquiétude quant à notre avenir de séropositif-ves est à nouveau à vif, à cran. Comme si nous n’avions rien appris de la période traumatique de l’épidémie du VIH-Sida, comme s’il n’y avait pas de traitements efficaces, des états laissent BigPharma nous voler nos vies, et la sérophobie, avec le fascisme, éclatent…Artistes, personnes vivant avec le VIH, activistes, chercheureuses, associations, sont réuni-es ici dans un ensemble de gestes, de paroles, d’images, d’analyses, tout un diagramme comme une matière vivante pour imaginer un autre futur. Il s’agit ici de rompre l’ignorance qui produit une sérophobie sourde mais omniprésente. L’esthétique sera ici un champ de bataille, un espace de contestation ; la proposition relève d’un guide tactique, d’un manuel d’usage pour survivre dans ce monde tout aussi beau que terrifiant. Avec nos colères, nos rêves et nos utopies concrètes, il s’agit de renverser le temps de la maladie et de la mort, de BigPharma et du capitalisme. (P.E. O.)
